Christian Julia Photos

Suite de mon exploration des sites de Gennevilliers. Je découvre une usine qui a brûlé récemment. Il semblerait qu’elle servait de dépôt de vêtements.

Suite de mon exploration des spots de Gennevilliers. Cette fois, mes pas m’entraînent dans une grande friche au cœur de la ville. Elle est entourée d’immeubles en construction. Le nouveau Gennevilliers est en train d’émerger.

Si les graffeurs se sont abondamment exprimés à l’intérieur de l’usine désaffectée de Gennevilliers, ils ont aussi exercé leur talent sur le mur qui l’entoure.

Une usine désaffectée fait depuis longtemps le bonheur des graffeurs. Jusqu’à présent, il était assez facile d’y entrer, mais voilà, elle va être mise en vente et elle est maintenant complètement fermée. Il a donc fallu ruser...

A Gennevilliers, tout le long du chemin latéral qui borde en contre-bas la ligne de RER, un immense mur accueille de magnifiques graffitis qui font la joie des usagers. Enfin, on imagine.

Après mon exploration des spots de Saint-Ouen j’ai poussé un peu plus au nord, à Gennevilliers, où j’ai pu découvrir quelques spots très importants. Mais avant de vous les montrer, voici quelques graffitis vus dans la ville à droite à gauche.

Exploration d’une friche de Sevran en Seine-Saint-Denis. Accès ô combien périlleux, en mode vandale, mais que de belles découvertes ensuite ! Le plus dur fut de ressortir par un étroit passage (un régime s’impose !).

Un très long mur situé rue Ordener dans le 18e arrondissement de Paris est un lieu d’expression pour les graffeurs.

Le samedi 19 mars 2016, un sapeur-pompier de Saint-Ouen m’a invité à photographier le graffiti réalisé dans la cour de sa caserne par Kwim. Passionné d’art de la rue, il m’a ensuite indiqué quelques spots à découvrir aux alentours...

Choses vues le 6 mars 2016 boulevard Vincent Auriol à Paris 13e autour du métro Nationale.

Suite de mon exploration des graffitis de Saint-Ouen. Une magnifique fresque orne la façade du gymnase Joliot-Curie.

Suite de mon exploration des graffitis de Saint-Ouen. A côté du grand stade du Red Star, un autre stade est entouré de graffitis sur le football, bien sûr, mais pas seulement. Le mur qui le longe est lui aussi garni de graffitis de part en part.

Suite de mon exploration des graffitis de Saint-Ouen avec la découverte d’une belle série dans un square où des jeunes jouent au basket.

Suite de mon exploration des rues de Saint-Ouen du côté du marché aux puces. Les boutiques, les murs, les façades d’immeubles n’accueillent pas seulement des lettrages ou des figures, ils sont aussi des terrains d’expression pure pour les artistes.

Suite de mon exploration des rues de Saint-Ouen, du côté des puces. Sur les rideaux de fer des magasins, sur les façades des immeubles, à chaque coin de rue, de drôles d’humains et de curieux animaux nous toisent, nous menacent, nous guettent.

La Francilienne (A104) a fait l’objet d’importants travaux d’élargissement dans le tronçon entre l’A4 et les autoroutes A5 et A6. La sortie au niveau de Pontault-Combault Gare a été entièrement redessinée. Et c’est là qu’un magnifique graffiti attirait mon attention depuis quelques mois. Et puis, ayant repéré l’endroit idéal pour m’arrêter, je ne suis enfin décidé à braver la circulation de la Francilienne et j’ai sorti mon appareil...

Le 26 février 2016 était organisée une visite de la maison que des graffeurs ont investie de fond en comble avant sa démolition prochaine... Tout le week-end suivant, les visiteurs ont pu profiter des œuvres époustouflantes réalisées dans cette « Maison enchantée ».

Le 19 février 2016, je me suis promené dans les rues de Saint-Ouen, rue Paul Bert, rue Jules Vallès, rue des Bons Enfants, passage des Routes en Train, rue Jean-Henri Fabre, etc. Voici une première série de photos consacrée aux lettrages.

J’ai entrepris le 19 février 2016 une exploration des lieux de graffitis de Saint-Ouen, qui n’en manque pas ! Voici pour commencer la fresque qui orne l’entrée du marché Jules Vallès.

Lors de l’accrochage de l’exposition d’un collectif d’artistes à l’Atelier Parilozzi le 19 février 2016, MG La Bomba dessine son célèbre bonhomme. Un peintre commente le travail du graffeur.

Près de Meaux, une ancienne chocolaterie fait le bonheur des graffeurs de la région.

L’hiver n’est guère propice à la créativité au Jardin Extraordinaire. Et même un feu allumé par Dieu sait qui a endommagé un graffiti de Neya Meauxtown que j’avais photographié précédemment.

Moïse Alves ne se considère pas comme graffeur, pourtant il exerce son art en extérieur, sur des murs, notamment sur ceux qui entourent une maison dans les bois, quelque part en Seine-et-Marne.