L’exposition s’intitule "Reliquiæ", ce qui signifie "Relique" en latin. Car pour Horor la plupart de ces animaux auront bientôt disparu, à l’image de Sudan, le dernier rhinocéros blanc mâle du Kenya mort en mars dernier.
Sur ces sortes de planches anatomiques, il reproduit leur anatomie fidèlement, mais il met ces squelettes en mouvement, ce qui crée l’étrange impression que ces animaux sont vraiment "entre la vie et la mort". Encore là, mais voués à l’extinction du fait de l’homme.
Le lieu


Quelques-unes des œuvres







Le vernissage


Horor en bleu.


La grande galerie d’anatomie comparée
En août 2018 j’avais visité la grande galerie d’anatomie comparée au musée d’histoire naturelle de Paris et évidemment je n’avais pu m’empêcher de penser aux travaux préparatoires d’Horor dans ce lieu.

Le cabinet d’amateur 12 rue de la Forge Royale, 75011 Paris Jusqu’au 28 octobre 2018.