Christian Julia Photos

Certains profitent du 1er mai pour aller cueillir du muguet, moi je suis parti à la cueillette du graffiti dans un endroit totalement hostile au piéton : l’échangeur de Pontault-Combault et sa voie de chemin de fer. J’ai retrouvé les graffitis d’Askom et Kebi que j’avais photographiés depuis la Francilienne. Longtemps restés seuls, ils ont désormais des compagnons.

Le samedi 30 avril 2016, des artistes étaient en performance à l’Entre Monde Cultures Alternatives 66 rue des Noyers à Aubervilliers.

Petite visite dans un endroit très original de Nanterre, les Arènes, où l’on trouve des chapiteaux de cirque, une ferme... et des graffitis.

Petite visite des Frigos du 13e arrondissement de Paris, un haut lieu de l’expression artistique de la Capitale...

Mon exploration des spots de graffitis des Hauts de Seine m’a conduit à faire le trottoir à Asnières !...

Les bureaux d’une usine désaffectée d’Asnières ont fait l’objet d’une incroyable mise en scène. On se croirait dans les locaux du 36, quai des Orfèvres : archives, scènes de crime, bureau du commissaire divisionnaire, salle de photocopies, salle d’interrogatoire, stand de tir... tout y est !

Poursuivant mon exploration des sites de graffitis de Saint-Denis dans le nord de Paris, je découvre le 6b, un espace de création artistique et de diffusion...

Suite de mon exploration des graffitis des Hauts de Seine avec la visite d’un hangar d’Asnières.

Mon exploration des graffitis à Saint-Denis m’a amené sous les ponts... de l’autoroute A86. La découverte de belles fresques, de beaux lettrages, réalisés dans des conditions assez acrobatiques. Et de la gadoue, beaucoup de gadoue.

Poursuivant mon exploration des spots de graffitis des Hauts de Seine, je tombe sur une usine désaffectée à Asnières.

Début de mon exploration des graffitis de Saint-Denis. Petit tour dans le quartier de la gare et le long du canal.

Mon exploration des graffitis de la région parisienne m’a entraîné en sous-sol, là où dorment d’un profond sommeil des wagons sur le retour. Tels des caméléons, ces monstres silencieux ont pris les couleurs des murs qui les entourent.

Suite de mon exploration des sites de Gennevilliers. Je découvre une usine qui a brûlé récemment. Il semblerait qu’elle servait de dépôt de vêtements.

Suite de mon exploration des spots de Gennevilliers. Cette fois, mes pas m’entraînent dans une grande friche au cœur de la ville. Elle est entourée d’immeubles en construction. Le nouveau Gennevilliers est en train d’émerger.

Si les graffeurs se sont abondamment exprimés à l’intérieur de l’usine désaffectée de Gennevilliers, ils ont aussi exercé leur talent sur le mur qui l’entoure.

Une usine désaffectée fait depuis longtemps le bonheur des graffeurs. Jusqu’à présent, il était assez facile d’y entrer, mais voilà, elle va être mise en vente et elle est maintenant complètement fermée. Il a donc fallu ruser...

A Gennevilliers, tout le long du chemin latéral qui borde en contre-bas la ligne de RER, un immense mur accueille de magnifiques graffitis qui font la joie des usagers. Enfin, on imagine.

Après mon exploration des spots de Saint-Ouen j’ai poussé un peu plus au nord, à Gennevilliers, où j’ai pu découvrir quelques spots très importants. Mais avant de vous les montrer, voici quelques graffitis vus dans la ville à droite à gauche.